Sonnet à l'éternité - Participation au thème de mai -

Je dois dire que ce texte m'a été inspiré en élément déclencheur, de l'entretien d'avril dernier de Bernard Giraudeau avec Mireille Dumas...

Je profite si j'ose le dire ainsi de l'instant pour envoyer toutes mes bonnes pensées à un être plus connu que d'autres mais dont la richesse de vie et de coeur lui permet de représenter tant d'autres....

Salut,

la forme n'est pas celle d'un sonnet classique
comme l'indique le titre
mais s"il s'inspire de l'acteur Giraudeau
qui fut je crois marin adolescent ou jeune homme
du moins au début de sa brillante carrière
il faut convenir que ce poème reflète bien cette question d'éternité que l'on doit davantage trouver ici-bas que dans l'au-delà

cordialement
Michel

Pour préciser, c'est l'acteur qui a été le déclencheur du thème mais c'est mon expérience et mes points de vue qui sont exposés !

Pour moi je ne vois pas pourquoi ce sonnet ne serait pas de forme classique puisqu'il respecte déjà le syllabique de 12.

sans toutefois, dans le thème, se pleurer en litanies et classissisme ringardisé comme chez celle que nous avons connu, "Mignard"....

Pour votre appréciation finale, bien-sûr c'est ce que je veux faire ressentir.... Mieux vaut l'eau d'ici que "l'eau delà !"...

salut,

j'entends simplement par sonnet classique
celui qui comprend deux quatrains et deux tercets
soient 14 vers
mais j'admets volontiers les variations

Michel

Pour moi l'esprit académique de la poésie peut avoir son intérêt comme trame à la libre réalisation des pensées et variations d'un thème.

Le rigorisme ne rime pas du tout avec créatif comme ceux qui veulent limiter la nature en jardins à la française...