Que j'aime en effet ces silences desquels nous bâtissons notre pensée... comme une évasion, un soupir...
Vous parlez ici des silences qui sont d'or et d'amour, quand ils investissent la mémoire et l'imaginaire, quand ils permettent d'aller en des lieux intimes et secrets où nos âmes s'élèvent...
Il est aussi des silences lourds et froids, des silences mortels.
Votre poésie ici est douce dans l'évocation, car ce sont des silences que j'affectionne.