Allégoriquement.-
Je veux modeler ton visage à l’image de ta beauté.
Dessiner tes contours, ces atours, lignes sensibles.
Caresser tes seins, le saint qui manipule ce charme.
Tracer tes hanches en ce dimanche, le velouté compris.
Embrasser tes lèvres, vision brève d’un instant chaleureux.
Humer tes odeurs sans pudeur, l’extase suprême
Puis te regarder d’un sourire, décrire ta majesté.
Tableau complet, je m’éloigne d’admiration.
L’impossible de combler cette perfection.
À vous de l’ensorceler de mille baisers…
André, épervier