ACTU-AUX-POETES
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Poètes d'hier et d'aujourd'hui, perceptions et réflexions philosophiques, politiques et satiriques
 
AccueilPortailGalerieRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Réflexion sur les églises, celles du dogmatisme. Part 2-

Aller en bas 
AuteurMessage
Messager

Messager


Nombre de messages : 1247
Date d'inscription : 19/01/2007

Réflexion sur les églises, celles du dogmatisme. Part 2- Empty
MessageSujet: Réflexion sur les églises, celles du dogmatisme. Part 2-   Réflexion sur les églises, celles du dogmatisme. Part 2- Icon_minitimeDim 16 Déc - 10:42

Suite de la partie 1



je me permets pour clore le sujet des églises, de citer un autre paragraphe issu du même auteur, alors qu’il propose : comment accueillir l’ensemble des conférences qui font Message, intitulé « Dans la Lumière de la Vérité »…

A titre personnel, j’assumerai, après cet extrait de conférence, la discussion sur les méfaits de l’église, sur trois sujets qui sont le résultat des créations directes et perverses de l’église Chrétienne catholique, au cours des siècles précédents, instaurés et installés par les Chefs d’église et, en particulier par différents papes, pour sauvegarder leur pouvoir et asseoir leur dogmatisme, soit :

- La confession.
- Le culte marial.
- L’incarnation.



Extrait de la conférence : «

C’est seulement quand vous-mêmes vous vous obligez aussi à vivre dan la loi Divine de l’harmonieux mouvement que la Parole peut éclore à la vie pour vous, pour vous laisser monter dans les hauteurs lumineuses qui sont votre vraie patrie. Mais détruisez d’abord toutes les murailles que la paresse de votre esprit laissa si fermement devenir rigides, autour de vous au cours des siècles ; qui enlacent et retiennent en bas, les ailes de votre esprit de telle façon que le dogme rigide et mort, vous suffit, qui, même vous semble grand avec lequel aujourd’hui vous essayez de servir Dieu, avec seulement des formes vides, ce Dieu qui est lui-même la vie ! »
*******

La confession :

Nous savons d’évidence que le temps de la confession est né de l’esprit dogmatique de l’église catholique alors qu’elle voulait contrôler, certes le peuple mais surtout la monarchie pour mieux la contrôler, voire la soumettre au pouvoir représentatif de Dieu, dont ils prétendaient être les élus et les représentants sur terre.
Le principe même de la confession est si j’ose dire une hérésie et, il est incompréhensible qu’il ne fût jamais contesté en aucune époque mais simplement abandonné en notre ère moderne où de toutes façons, toutes les valeurs, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, sont délaissées et occultées.
Pour conclure rapidement ce sujet, nouvel abêtissement humain, laissant croire à une remise de peine, par un simple homme, ecclésiastique, souvent chargé de ses propres chaînes, exploitant sans retenue, la paresse d’esprit ; pour ne pas constater simplement que dans l’ancien testament comme dans le nouveau, rien n’est dit ou suggéré à l’égard de la prêtrise, comme de la confession, comme tout simplement de l’église telle qu’elle existe actuellement.
L’existence de l’église comme du Vatican, se justifierait, encore actuellement, par une phrase déformée et déviée de son sens initial, liée à l’alliance nouvelle voulue par l’Envoyé de Dieu, dont le sens a été volontairement dévoyé, quand Jésus dit à Pierre, « Pierre, tu es pierre et, sur cette pierre tu bâtiras mon église ».
Bâtir une église, c’est transmettre un Message, ce n’est pas de créer une force d’argent et un pouvoir politique et financier comme l’église actuelle est installée, ainsi en décalage total avec le Message du Christ et à la réalité matérielle comme philosophique des peuples de la terre.

Le culte marial :

C’est comme maintes inventions nées de l’esprit malin pour se fourvoyer grâce à la faiblesse et à la paresse humaine. Comme dît : « il suffit d’un appât qui ne manque pas de gourmands ».
D’évidence aussi, de développer un concept puissant issu de la Divinité pour en faire un conte de fées moderne est d’une extrême gravité à notre époque actuelle puisque le culte marial est né fin du dix neuvième, pour prendre corps au vingtième siècle et trouver son aboutissement très vogue en merchandising au vingt et unième siècle par notre pape actuel.
Au cours de la centaine d’années écoulées, il y eut Lourdes, Fatima, où les visions de jeunes enfants ont été dévoyées et exploitées, car il suffit de s’informer, de demander, de rechercher les rapports de gendarmerie et les premiers entretiens auprès des enfants pour savoir qu’ils ont en réalité, vu une grande lueur très éclairée, très lumineuse, et, c’est leur esprit qui a capté une voix de femme qui ne s’est jamais prétendue être Marie.

Et voilà, un nouveau bon filon à exploiter pour redorer un blason, pour réorganiser le marché de l’église, les nouveaux marchands du Temple trouvent alors une nouvelle issue en marketing spirituel, peu importe la vérité pourvu que ce soit d’esprit noble, (noblement faux bien entendu).

Plus de guerre depuis nombre d’années, ces étapes qui remplissent les églises et les enrichissent, donc moins de prospérité pour asseoir le pouvoir en place.
Ainsi le culte marial est certainement le fruit d’une étude de marché qui a germé dans l’esprit d’ecclésiastiques qui ne doivent pas avoir la même version de l’Evangile que nous tous.
En faits, le Christ ne parle que très peu de sa Mère et, quand il en parle, ce n’est pas en éloges flatteurs, non nécessaires à l’écoute de ses Messages, il est même parfais apparemment dur, à son encontre ; elle sa Mère qui certes a été choisie et investie d’une grande mission mais qui est devenue une Mère comme les autres, enfantant d’autres enfants, « frères et sœur de Jésus », ce que l’église éclipse sans pudeur.

L’église sait en sa culture, son érudition, la vérité à l’égard de l’origine de la venue sur notre terre, auprès des humains, du Fils de Dieu, dont l’Esprit provient de la Divinité, bien au delà des Sphères dont certains initiés ont informé.

Le culte marial est né de la déformation de la Volonté Divine et de la Création elle-même, où il existe une partie Divine, de genre féminin, appelée Reine Originelle dont si l’on ose résumer, régie l’Essentialité, la nature, les enfants et le genre féminin.
C’est Elle que les enfants ont perçue et captée lors de ce que l’on a appelé « les visions de Marie… ». Comme en d’autres temps, des écrivains et poètes ont déformé l’origine du Culte du Graal et de Parsifal, pour en constituer une forme poétique romanesque…

La réincarnation :

Se réincarner, de nouveau dans un véhicule terrestre, telle est la faculté octroyée au genre humain, par les Lois de la Création, afin, comme un élève qui a mal suivi sa classe, a la possibilité de redoubler celle-ci afin d’acquérir de nouveau et de combler ses lacunes.
C’est une grâce qui nous fût accordée pour grandir et assumer nos pérégrinations afin de pouvoir retourner un jour dans notre patrie originelle en être auto conscient alors que nous en étions parti en germe d’esprit humain inconscient.
L’image est bien symbolisée par les Compagnons qui avaient le savoir, grâce au parcours du labyrinthe, ayant qu’une seule entrée et sortie ; c’est sans équivoque, et nous pouvons d’ailleurs le visualiser au sol à la Cathédrale de Chartres.
Il est clair aussi, que portant intérêt à l’histoire, nous pouvons découvrir qu’à la frontière de l’an 1000, l’église catholique reconnaissait la réincarnation des êtres humains.
Et, une fois de plus, pour une meilleure emprise sur les esprits, elle déclara nulle cette Loi afin de mieux régenter son pouvoir qui devint alors de plus en plus dogmatique. N’oublions pas non plus, que les Cathares et les Albigeois, pourchassés et anéantis par l’église vers le treizième siècle, avaient conservé ce savoir transmis de bouche à oreille.

Si l’on lit attentivement les Evangiles, nous y trouvons aussi maintes allusions, mais l’église a préféré faire croire et encore de nos jours à une résurrection dernière et, en l’attente, Dieu sait, Lui où nous sommes, heureusement pour le salut des esprits encore ouverts, voire libres…
D’évidence, à l’époque de la venue du Christ, le peuple Juif n’était pas disposé et tout compte fait, prêt à entendre cette vérité qu’est le principe de la réincarnation possible des êtres humains. C’est pourquoi Jésus a choisi d’autres voies pour s’adresser à un peuple pourtant évolué, uni dans toutes les adversités et de même famille humaine depuis maintes générations. Certainement le seul peuple terrestre de l’époque, capable en son dogme monothéiste, d’être instruit d’une possibilité d’Alliance Nouvelle…

Mais n’accusons pas sans cesse l’église car la paresse d’esprit de ses adhérents est une cause qui l’empêche aussi de se remettre en question, sous le prétexte occulte que l’information au vrai savoir serait sa perte, comme cela est d’ailleurs annoncé dans les temps de la fin décrits par Jean le Baptiste, Initiateur terrestre de Jésus.

Enfin, sachez que maintes livres et documents relatent avec justesse et explications de l’incarnation et de la réincarnation des esprits en un corps de chair pour l’unité d’un véhicule complet, « Psyché et soma ».
Et puis, réfléchissons, quelle serait notre utilité dans et pour la Création de venir une seule fois, quels en seraient le but et l’intérêt ? !

Surtout dans la théorie de l’église où venant sur terre, nous naissions laid, handicapé, idiot et j’en passe, celle-ci nous propose une résurrection collective, le même jour, du même corps, tel que.
Vous imaginez !…

Enfin, l’énorme contradiction dans l’interprétation d’une parole, elle aussi sans équivoque, « tu retourneras poussière à la terre ». Etant de chair et de sang, il est évidemment clair que la chair retourne à la terre, selon les Lois de la Création et, le sang symbole de l’incarnation de l’esprit, lui, retourne à l’esprit pour qu’il puisse continuer son chemin dans les différents lieux et sphères de l’au delà…

Pour conclure :

Néanmoins, on peut parfaitement se rendre compte, comme souligné dans la conclusion de la conférence, que les maux engendrés par l’église catholique, sont à l’heure actuelle, un moindre mal, et seront en leur temps beaucoup plus réparables pour les humains.
A condition de ressentir l’ultime appel dans l’esprit de la Pentecôte…
Au regard de tous les excès souvent moins apparents orchestrés et utilisés actuellement par nombre, en place, au pouvoir, qui formalisent en tous genres des dogmes, pour banaliser le discernement des esprits qui ne veillent pas assez dans le mouvement incessant de la vie, et, de toujours, réputés quelque peu paresseux malgré les nombreuses mises en garde de l’Envoyé de Dieu, et des nombreux Prophètes, au cours des temps et des temps…
**************
[ELPP, 2003]
Revenir en haut Aller en bas
http://actuau-dix-vingt.forumculture.net
 
Réflexion sur les églises, celles du dogmatisme. Part 2-
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Réflexion sur les églises, celles du dogmatisme ! Part 1-
» Une réflexion sur le glissement des libertés fichées...
» LES CHIEURS ET LES CHIEUSES (Ou une petite réflexion sur la
» Réflexion humanitaire avec l'eau comme support !
» Un texte de réflexion d'un Ami de longue date ! Conscience h

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ACTU-AUX-POETES :: VOTRE POESIE EN LIBERTE ! VOS CREATIONS PERSONNELLES !-
Sauter vers: