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 Analogie de l'expression somatique du cerf et l'infarctus !

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Nombre de messages : 1247
Date d'inscription : 19/01/2007

Analogie de l'expression somatique du cerf et l'infarctus ! Empty
MessageSujet: Analogie de l'expression somatique du cerf et l'infarctus !   Analogie de l'expression somatique du cerf et l'infarctus ! Icon_minitimeMar 5 Juin - 9:34

LE CERF ET L'INFARCTUS ou L’EXPRESSION SOMATIQUE DE LA PERTE DU TERRITOIRE




Ce qui suit ne doit en aucun cas constituer une recette qui permettrait à coup sûr de décoder
l'origine de cette pathologie ; tout est en effet une question de "terrain" personnel.

Si un chef d'entreprise fait un infarctus, on en conclut habituellement que sa maladie est due au surmenage, voire à l'abus du tabac ou d’alcool qui ont souvent accompagné le surmenage. Pourtant les cerfs font des infarctus, alors qu'ils ne se surmènent pas, qu'ils ne fument pas de cigarettes et qu'ils ne boivent pas d’alcool.
Le cerf qui fait un infarctus du myocarde le fait le jour où il a perdu son territoire face à un prétend plus en forme et surtout plus jeune qui a réussi à l’en chasser. Il perd alors leurs femelles dont s’est emparé le ma^me vainqueur du combat. En Médecine Nouvelle, l'infarctus est la « maladie » caractéristique de la perte du territoire.

Que s’est-il donc passé ? Tant que le cerf vieillissant est seul sur son territoire, il y circule sans obstacle, ensemençant ses femelles. Dès que le plus jeune et plus fort cerf a gagné la bataille il y a obstruction à la libre circulation du vieux cerf qui perd son territoire et ne peut donc plus irriguer ses femelles de sa semence ; celle-ci est alors bloquée. Le mal-a-dit de cette perte est bien la somatisation que représente l'infarctus et opère concrètement une obstruction à la circulation dans l'artère. Pour le cerveau la représentation symbolique du territoire est bien la circulation sanguine et le cœur qui en est l’élément central.
Durant le combat, le vieux cerf avait besoin de plus de sang, car il mesure la difficulté grandissante de supplanter l’autre cerf. Il faut donc envoyer plus de sang aux muscles pour déployer plus de force Il mobilise toutes ses forces pour gagner : il ne se ménage pas. Il développe une puissance qui nécessite beaucoup d’oxygène; il ne peut se reposer : il est en stress important. Pour donner de la puissance aux muscles, il doit y avoir beaucoup d’oxygène. Or c’est le sang qui transporte l’oxygène. Le cœur accélère. Il pompe sans arrête et ce sont les coronaires qui nourrissent le cœur. Puisque ce sont les artères coronaires qui nourrissent le cœur, leur débit doit être très important. Dans ce but, le cerveau, centrale de commande de tous les besoins physiologiques, crée l’ulcération progressive des artères, pour en accroître le diamètre intérieur et la paroi s’amincit ce qui laisse passer plus de sang...
Lorsque le combat est perdu, il faut donc reboucher ce qui a été ulcéré (avec du cholestérol). Mais le cerveau, comme dans les cas de tous les mal-a-dit, ne contrôle que l’ « ordre de mission » et sa traduction immédiate, mais n’en contrôle pas les effets sur le « terrain ». Il peu donc s’en suivre la création d’un bouchon artériel et le blocage de la circulation. Le tissu du cœur, symbolique du centre du territoire et de la circulation du sang dans le corps, symbolique de la circulation de l'animal sur son territoire, n'est plus irrigué et se nécrose. C'est l'infarctus.
L’infarctus chez les HOMMES

Ce qui se passe dans le règne animal se compare au modèle humain. Chez l’être humain, l’aspect "territoire" concerne le travail, la famille, la maison, voire l'épouse, les enfants etc. les associations et autres secteurs de notre vie ou nous voulons garder le contrôle, le pouvoir de décision ou demeurer le chef.. Quelques exemples célèbres comme celui de Bernard Tapie qui a fait un infarctus alors qu'il ne buvait pas d'alcool, ne fumait pas et ne se surmenait pas ; il était alors en prison, bien au repos qu'il n'avait eu jusque là, recommandé en cas de maladie cardiaque ; celle-ci était apparue après la perte de tout le territoire sur lequel il avait étendu son empire désormais effondré.

Cas analogue avec Georges Marchais, le jour où, après le déclin du parti communiste et la montée de la contestation, il sent qu'il va perdre la direction du parti.
Un autre exemple donné par Jan Spreen : le commerçant et ses problèmes d'artères coronaires.
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