Même les chinois sont d’accord et se moque de nous à voir cette vidéo
Voici, en gros, le contenu.
La patrie des Droits de l'Homme est en déclin. La France n'est plus que l'ombre d'elle-même.
C'est une nation au bord de l'échec.
Le pays est dirigé par une classe politique corrompue qui PILLE les richesses publiques pour le bénéfice d'une petite oligarchie financière.
Plus grave encore, ce sabotage est organisé avec le consentement du peuple français, car une majorité de Français vote contre ses propres intérêts, au profit des rentiers les exploitant sans contrepartie, c'est absolument incroyable..
Une partie des recettes fiscales est redistribuée aux milliardaires de ce pays. Malgré une dette record et une pauvreté grandissante, leur Président c'est Robin des Bois à l'envers.
Le petit personnage est le VALET des plus fortunés qui pervertissent et ruinent leur modèle social.
C'est une inversion des valeurs.
Leur économie est à l'image de leurs illusions libérales. Le marketing, le trading, les Compagnies d'assurances ne créent globalement aucune richesse.
La propagande de masse et les médias ont réussi à les culpabiliser sur leurs acquis sociaux qu'ils ne doivent pourtant qu'à eux-mêmes.
Ils se laissent dépouiller, les travailleurs français n'ont pas conscience de leur haut niveau de compétitivité et de leur productivité.
La France est immensément riche, mais pas pour les Français.
Dette faramineuse :
Les Français ignorent qu'elle provient de la confiscation de leur droit régalien de création monétaire. Mais ils ferment les hôpitaux, les crèches, les bureaux de poste, tout ce qui ne profite pas directement aux portefeuilles d'actions des privilégiés. C'est de l'AUTODESTRUCTION en puissance.
Que font les Médias et les politiques ? Il n'y a personne pour tirer la sonnette d'alarme ? Les Français ne se soucient guère que du foot et de la santé de Johnny Hallyday.
C'est vraiment pathétique.
La France ne peut plus créer d'argent pour elle-même, mais seulement pour les banques privées lesquelles prêtent à leur tour cet argent avec intérêts à l'État français.
Voilà d'où vient la dette de la France.
C'est inquiétant !
Les Français auraient-ils un cerveau minuscule ? Oui, une majorité de Français seraient atteints par une pathologie nouvelle qui s'appelle "le syndrôme du larbin".
Un larbin prend systématiquement la défense des classes les plus favorisées, au détriment de celles dont il est issu.
En France, il est courant que des individus, alors qu'ils ne sont pas imposables, militent pour supprimer l'impôt sur la fortune.
Ces fins stratèges qui dirigent ces moutons refusent toute idée de protectionnisme. Ils préfèrent importer nos produits bas de gamme plutôt que de sauvegarder leurs emplois et leur industrie.
Ils sont dogmatiques. Voilà pourquoi la France souffre d'un chômage de masse malgré une main-d’œuvre très qualifiée.
De plus, leur gouvernement est en train de leur augmenter leur durée de cotisation pour la retraite, ainsi en France moins il y a de travail, plus on doit travailler.
C'est très logique !
Voilà le mal profond qui affecte l'hexagone, la situation semble désespérée, mais n'oublions jamais que c'est de cette petite République du monde, pendant la nuit du 4 août 1789, que fut proclamée l'abolition des privilèges.
En 1971, la Banque de France éditait un opuscule dénommé « la Monnaie et la Politique monétaire » dans lequel elle précisait :
« Les particuliers - même paraît-il certains banquiers - ont du mal à comprendre que les banques aient le pouvoir de créer de la monnaie ! Pour eux, une banque est un endroit où ils déposent de l'argent en compte et c'est ce dépôt qui permettrait à la banque de consentir un crédit à un autre client. Les dépôts permettraient les crédits. Or, cette vue n'est pas conforme à la réalité, car ce sont les crédits qui font les dépôts ».
Je l’ai vécu personnellement :
Il y a quelques années, dans la banque que je dirigeais à l’époque, j’ai reçu un étudiant pour la partie pratique de son mémoir. Quelle ne fut pas ma surprise de lire dans le cours de sa prof :
Je cite : « les banques font des crédits avec les dépôts des clients »
Je lui téléphone pour lui dire qu’il y avait une petite erreur qui s’était malencontreusement glissée dans son cours ; nous avons fini par nous étriper et j’ai fini par me faire traiter d’incompétent et que je n’avais rien compris à la banque.
En discutant à droite ou à gauche, je peux vous assurer que c’est toujours d’actualité.
Il faut donc rejeter complètement cette idée, sans doute enfouie au fond de votre esprit que, pour qu'un banquier puisse vous proposer un crédit, il FAUT qu'un épargnant soit passé avant vous à la banque pour y déposer des économies correspondantes au prêt que vous allez demander, et qu'en fin de compte, c'est l'épargne d'un autre que le banquier vous prête, en prélevant sa commission au passage (l'intérêt). En réalité c'est l'inverse qui se passe : c'est l'argent emprunté par les uns et les autres, qui se retrouve ensuite en partie en épargne. D'ailleurs, avez-vous déjà entendu votre banquier vous annoncer : « Désolé, votre compte est vide, j'ai prêté son montant à un autre client » ? Votre épargne ne disparaît pas de votre compte, elle reste là, disponible immédiatement ou dans des délais plus ou moins longs, selon le type de placement que vous avez choisi, alors que si vous prêtez de l'argent à vos enfants, vous n'en n'avez plus la disponibilité.
Alors, d'où vient cet argent que les banques nous prêtent ? Elles le créent à partir de rien – ex nihilo – un système extrêmement obscur que l'on veille à maintenir dans l'ombre, soit que l'on pense qu'il est affaire de spécialiste que l'esprit du commun des mortels ne saurait appréhender, soit que le mettre en pleine lumière risquerait de pousser les esprits « éclairés » à se rebeller.
Sans doute est-ce ce qui à fait dire à Henry Ford (1863-1947) :
« Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin. »
Nous somme condamnés à L’ Endettement perpétuel. ici
En France, c'est la loi du 3 janvier 1973 sur la réforme des statuts de la Banque de France qui, sous la tutelle du ministre des finances Valéry Giscard D'Estaing, a auto interdit à l'État d'emprunter auprès de la Banque de France. L'article 123 du récent traité de Lisbonne — ratifié suite à un déni de démocratie — stipule: "il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres (...), d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l'Union, aux administrations centrales (...); l'acquisition directe, auprès d'eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite".
Pour financer ses dépenses publiques, l'État a donc recours à l'emprunt: il émet des bons du Trésor ou des effets — selon la durée de l'emprunt — qu'il vend sur le marché. En ce moment la Grèce doit emprunter à plus 9% alors qu’un particulier en France emprunte à 2.5 % ;Et les banques commerciales financent leur achat de ces titres de dettes publiques par simple création monétaire...
Autrement dit, les banques s'enrichissent gracieusement tandis que l'État (c'est à dire les contribuables) s'endette. Cette logique d'endettement crée un cercle infernal, car tôt ou tard il faudra rembourser l'emprunt et les intérêts. Or lors de la création de monnaie donnant lieu au crédit, seul le principal a été créé. L'argent pour payer les intérêts n'a quant à lui jamais été créé.
Parmi les nombreux économistes qui s'élèvent contre cet état de fait, le prix Nobel d'économie Maurice Allais dénonce radicalement ce système:
"La création monétaire doit relever de l'État et de l'État seul. Toute création monétaire autre que la monnaie de base par la Banque centrale doit être rendue impossible, de manière que disparaissent les "faux droits" résultant actuellement de la création de monnaie bancaire"
Le montant de la dette française s'élève à plus de 1 400 milliards d'euros et le seul remboursement annuel des intérêts de cette dette absorbe la totalité de l'impôt sur le revenu.
Ce montant est sensiblement égal à la somme des intérêts (actualisés) payés sur cette dette depuis 1973 , date à laquelle l'État a renoncé à la création monétaire.
Autrement dit, si l'État avait pu se financer directement à la Banque de France sans intérêts, mais avec l'obligation de rembourser l'emprunt et de détruire ainsi la monnaie créée, le pays ne serait aujourd'hui quasiment pas endetté.
Confirmation par les chiffres issus de l’INSEE arrêtés à 2006
Intérêts cumulés de la dette publique
Commençons avec ces tableaux issus des données de l'Insee qui nous informe de la dette publique cumulée en milliards d'euros courants, à laquelle nous avons appliqué chaque année les coefficients de transformation pour obtenir les valeurs "euros 2006", :
http://www.insee.fr/fr/indicateur/cnat_annu/base_2000/finances_publiques/dette_deficit.htm / (3.341 - Dette publique au sens de Maastricht) et http://www.insee.fr/fr/indicateur/pouvoir_achat.xls
Année Dette publique cumulée en milliards d'euros courants Coefficients de transformation euros courants à valeur euro 2006 Dette publique cumulée en milliards d'euros constants 2006
1978 72,80 3,06524 223,15
1979 82,80 2,76756 229,15
1980 92,20 2,43722 224,71
1981 110,10 2,14906 236,61
1982 145,50 1,92196 279,65
1983 170,00 1,75332 298,06
1984 201,40 1,63236 328,76
1985 227,70 1,54249 351,22
1986 249,30 1,50254 374,58
1987 281,20 1,45669 409,62
1988 302,80 1,41851 429,53
1989 333,30 1,36912 456,33
1990 363,60 1,32451 481,59
1991 385,10 1,28339 494,23
1992 440,10 1,25367 551,74
1993 510,00 1,22809 626,33
1994 564,80 1,20795 682,25
1995 657,90 1,18742 781,20
1996 707,20 1,16446 823,51
1997 742,50 1,15036 854,14
1998 778,00 1,14242 888,80
1999 795,30 1,13671 904,03
2000 817,20 1,11782 913,48
2001 842,50 1,09952 926,35
2002 901,80 1,07900 973,04
2003 994,50 1,05700 1051,19
2004 1068,30 1,03500 1105,69
2005 1136,80 1,01600 1154,98
2006 1142,20 1,00000 1142,20
Pour la suite, les taux d'intérêts (moyennés annuellement) sont extraits du fichier des taux mensuel sous Excel de la Banque de France joint à ce courriel.:
Tableau récapitulatif
Année Taux moyens
1978 8,92%
1979 9,84%
1980 13,03%
1981 15,70%
1982 15,69%
1983 13,63%
1984 12,54%
1985 10,94%
1986 8,44%
1987 9,43%
1988 9,06%
1989 8,79%
1990 9,93%
1991 9,05%
1992 8,60%
1993 6,90%
1994 7,35%
1995 7,59%
1996 6,38%
1997 5,63%
1998 4,72%
1999 4,69%
2000 5,45%
2001 5,05%
2002 4,93%
2003 4,18%
2004 4,16%
2005 3,46%
2006 3,86%
La base du raisonnement utilisé pour calculer l'intérêt cumulé, est la suivante: Soit une dette de l'année N ; l'État paye des intérêts sur ce montant (suivant le taux d'émission des obligations). La différence de la dette publique entre l'année N+1 et l'année N représente la somme des intérêts versés, augmenté éventuellement d'un certain capital supplémentaire, total nécessaire pour équilibrer les budgets.
Exemple 1 suivant le tableau qui suit: de 1994 (682,3) à 1995 (781,2) la dette a augmenté de 99,0 milliards d'euros. Le taux moyen sur cette période est de 7,59 %, les intérêts représentent donc 59,3 ( 781,2 x 7,59 %). C'est donc seulement de 99,0 - 59,3 = 39,7 milliards d'euros que nous aurions eu besoin, autrement dit : notre dette n'aurait AUGMENTÉ que de 39,7 milliards d'euros (au lieu de 99 milliards d’Euros), si nous n'avions pas eu d'intérêts à payer.
Exemple 2 suivant le tableau qui suit: de 1999 ( 795,3) à 2000 ( 817,2) la dette a augmenté de 21,9 milliards d'euros. Le taux moyen sur cette période est de 5,5%, les intérêts représentent donc 44,5 (817,2 x 5,5%). C'est donc seulement de 21,9 - 44,5 = -22,6 milliards d'euros que nous aurions besoin, autrement dit : notre dette aurait été RÉDUITE de 22,6 milliards d'euros (au lieu de l augmenter de 21,9 milliards d’euros), si nous n'avions pas eu d'intérêts à payer!
Alaplume
Nombre de messages : 98 Age : 46 Localisation : Côtes d'Armor Date d'inscription : 17/06/2008
Sujet: Re: Dette Publique, Banque et monnaie ! Mer 13 Oct - 8:00
je dirais simplement que les intérêts ne devraient pas être calculés de la sorte; à mon sens, ils ne devraient être payés qu'une fois, c'est à dire sur la somme totale empruntée, ce qui paraît bien plus juste et évite la faillite financière, que ce soit au niveau nationale ou local, j'entends par là qu'un emprunt de 1000 euros à 5% serait préférable à 10 ou 20% dès lors qu'il ne tienne compte que de la somme empruntée et non de la durée de remboursement, les plus lents à rembourser étant indubitablement les plus pauvres.
J'ai toujours trouvé le principe de l'emprunt national ridicule car il n'a cessé d'apauvrir notre capacité d'autonomie; si nous considérions qu'aucun emprunt n'aurait été contracté, voyez ce que l'on aurait pu accomplir jusqu'ici (nous ne serions pas en recherche d'économie sur les branches santé et retraite qui pénaliseront une fois de plus les plus pauvres).
je pourrais entamer une longue discussion sur ce que je pense de la politique actuelle tout en ayant conscience que certaines décisions s'imposeront de toute façon à nous, mais il y aurait trop de choses à dire.
J'aurais aimé pouvoir en discuter avec des membres de partis politiques pour leur exposer la vision des gens d'en bas, comme l'on dit, eux n'avançant bien souvent qu'avec des oeillères.
Messager
Nombre de messages : 1247 Date d'inscription : 19/01/2007
Sujet: Re: Dette Publique, Banque et monnaie ! Mer 13 Oct - 8:26
Je mets à lecture des expressions politico-économiques pertinentes, de temps à autre, justement pour que les Lecteurs réagissent comme vous le faites ou bien permet de base de connaissance que la majorité de nos elus ne connaissent pas et ne s'y intéressent surtout pas ! Le hic est là, mon cheminement politico-économique durant ma vie qui est un nettement plus en temps que la votre Cher Alaplume, il se fait que je suis devenu désespéré voire misanthrope de la nature humaine telle qu'elle devient et à commencer par ses représentants du pouvoir et de l'argent dont le Peuple intelligent occidental devient nuisible pour exploiter les peuples dits en voie d'évolution ! Il ne vous a pas échappé que d'années en années notre industrie est allé chercher de plus en plus loin de l'énergie humaine pour les besoins de fabrication ! Le pouvoir en place s'en satisfait et trouve son compte par des contre-parties très spéciales comme l'est par exemple le régime salarial, de retraite et avantages dont nos députés bénéficient sur le dos du Peuple...Il ne vous échappe pas que ces Députés se comportent en godillots lors des votes en assemblée.... Que le peuple n'est que gaulois à se manifester pour le plaisir de contester alors qu'aucun mouvement depuis 1968 n'a eu lieu pour dire le désarroi du présent qui s'agrave de jour en jour sous nos yeux médusés et de se dire quand cela va s'arrêter....
Et d'interpeller nos Elus ne sert plus à rien car ils savent que même si les gens ne votent plus ils seront toujours élus avec même 20 % de votants.... Virer Sarko, ce cynique bouffon, il le faut mais qui va prendre la relève pour entendre le bruit sourd de la gronde du Peuple dont maintenant l'échelle sociale n'existe plus ayant pour seuls, les nantis et les pauvres avec quelques rares professions privilégiées qui sont indispensables aux nantis pour demeurer sur un des barreaux du milieu de l'échelle, et êtrre respectées....