une nuit étoilée,
alors que la folie de vivre m'envahit,
les lucioles frivoles, en profitant de chaque instant.
As-tu entendu le vent ?
Emmener ma pensée effleurer ce que tu es, peut-être.
Mais le doute, est venu semer sur ma route,
une brume hurlante priant de cesser la souffrance.
L'envie j'ai eu de découvrir ton sourire,
mais tu ne m'as pas attendu, tu es parti défier la vie,
oubliant que la mort se joue de l'affrontement,
en emportant avec elle, les âmes égarées au milieu des damnés.
La tristesse j'ai de voir l'espoir furtif désespoir,
la crainte j'ai, que l'armure ne soit que blessure.
Désolé de ne pas avoir osé,
désormais je fond dans la nuit, pensant t'entendre.